Cela fera bientôt vingt ans que ce sont produits les attentats du 11 septembre à New-York et ce documentaire en 8 chapitres réalisé en 2007 par Ace Baker, compositeur de musique de film et de séries, est l’un des plus originaux, mêlant analyse et chansons…

Il perce le mystère à tous points de vue, même s’il manque deux ou trois détails pour qu’il paraisse véritablement complet.


Il vaut le coup d’être vu ou revu, en cette période où la force de propagande des media officiels et commerciaux n’est jamais apparue avec autant d’acuité.

Avec la haute définition, la réalité s’insinue elle-même en se mêlant aux images intérieures qui nous traversent et, pour les atteindre, il convient que l’on vous injecte quelque chose, qui n’est ni de l’ordre d’une matière, ni d’un nombre, plutôt d’une formule dispersive, en espérant qu’elle n’ait aucun effet destructeur…

Aujourd’hui, selon ce nouveau passage où les images sont dépourvues d’une quelconque substance, c’est à notre propre corps qu’il convient de s’en prendre.

Il est donc utile de suivre ce cours de désintoxication à l’information télévisée : le film expose dans son premier chapitre le contenu de cette manipulation de masse (qui énonce la vérité comme sous-jacente, en prétendant qu’elle n’est qu’une image extravagante alors que l’image extravagante dévoile la vérité), et ira la reprendre dans le dernier et huitième chapitre en explicitant la méthode employée faite de répétition de mots, de distorsions de la réalité, une façon de souligner les choses en les étouffant sous des formules creuses pour les faire mieux passer comme invraisemblables, alors qu’elles sont en fait directement accessibles, le medium télévision étant de ce point de vue absolument transparent.

Voici donc l’artifice du 11 septembre pour déclencher un cycle de « guerres sans fin » de par le monde, depuis ce que les téléspectateurs américains jusqu’au dévoilement d’une incroyable supercherie.

Le plus singulier de toute cette histoire, est exprimé par Jean Baudrillard qui cherche un double « terroriste » à la violence absolue du capitalisme mondialisé (ce mode de production est à l’œuvre depuis bien avant 1914 et Lénine l’a décrit dans son opuscule « l’impérialisme, stade suprême du capitalisme« ), alors que c’est le système lui-même qui sécrète une image sans corps : comme il est dit dans le deuxième chapitre du film d’Ace Baker, les noms des terroristes suicidaires ne figurent même pas sur les listes d’embarquement des avions censés être détournés… D’ailleurs Baudrillard manque le principal dans son article livré au Monde, des terroristes qui se suicident, ce ne sont plus que des images, ils sont doublement virtuels, virtuels dans l’action qu’ils sont censés conduire, virtuels dans ce qu’ils deviennent, on ne retient qu’un seul nom Mohamed Atta, celui d’un disparu que sa mère avait encore au téléphone le lendemain des attentats…

Comment pourrait-on d’ailleurs croire qu’il s’est trouvé 19 personnes pour choisir ce mode de suicide en même temps, disposant d’une telle rigueur d’exécution ?

Nous retiendrons cependant l’analyse de Baudrillard en d’autres circonstances : le crime parfait ( « Si les conséquences du crime sont perpétuelles, c’est qu’il n’y a ni meurtrier ni victime. S’il y avait l’une ou l’autre, le secret du crime serait levé un jour ou l’autre, et le processus criminel serait résolu. Le secret, finalement, c’est que l’un et l’autre soient confondus : “En dernière analyse, le meurtrier et la victime sont une seule personne. (…) En dernière analyse, l’objet et le sujet sont un. Nous ne pouvons saisir l’essence du monde que si nous pouvons saisir, dans toute son ironie, la vérité de cette équivalence radicale. » Jean Baudrillard), le voilà, comme la lettre volée d’Edgar Poe, le trucage des avions serait visible par tout le monde, mais tout le monde se refuse à le voir…

Le 11 septembre, un grande psy-tragédie américaine
Un film d’Ace Baker en 8 chapitres.

Le premier : « Des nouvelles frelatées »

Le 11 septembre 2001 vu au travers du prisme des nouvelles télévisées. La réalité apparaît de façon sous-jacente de par les mots employés par les journalistes, soudain lucides pour mieux dissiper l’effet de l’événement : « effet spécial raté », « champignon atomique », « démolition contrôlée », qui laissent transparaître l’invraisemblable supercherie que les 7 autres épisodes vont mettre au jour.

Le deuxième : « Version officielle ou mouvement pour la vérité « 

Ausculter les explications données par la version officielle des attentats du 11 septembre 2001 et les interrogations principales formulées par le mouvement pour la vérité…

Exploring the official government explanation of 9/11 and the major claims of the 9/11 Truth Movement.

Le troisième : « Scientifiques pour la vérité « 

Jim Fetzer a fondé le groupe « scientifiques pour la vérité » et nous a présenté Steven Jones et Judy Wood, qui se sont empressés de se chamailler et de développer des hypothèses incongrues sur l’utilisation de « thermite » ou ces armes improbables « à énergie dirigée »…

Quel était en fin de compte l’objet véritable de cette association ?

Jim Fetzer founded the Scholars, and introduced us all to Steven Jones and Judy Wood, who promptly started a spitting match and offered up ridiculous theories about « thermite » and « Directed Energy Weapons ». What was the real purpose of the Scholars?

Le quatrième : « Phénomènes singuliers »

Présence en quantité importante de tritium, de strontium, de baryum radioactifs, champignon atomique, 1400 moteurs de voitures fondus sans explication, syndrome chinois, cancers rares (notamment cancers du sang et de la thyroïde) chez les secouristes et les pompiers de New-York ?

L’évidence s’impose et ne désigne pas la thermite comme cause de désintégration des tours, pas plus qu’un effondrement par gravité…

Radioactive tritium, strontium and barium, molecular dissociation, mushroom cloud, 1400 melted motor vehicles, China syndrome, rare cancers . . . the evidence is overwhelming, and it doesn’t point to thermite any more than it points to a gravity collapse.

[Il manque une explication au film réalisé par Ace Baker : au moment où elles sont vendues par les autorités portuaires de New-York à Larry Silverstein, les deux tours devaient subir un désamiantage général qui s’est avéré hors de prix. La présence d’amiante dans les plafonds particulièrement rendait les deux tours impropres à la location par suite du durcissement programmé de la législation sur l’amiante.

Il existait donc une raison de base à provoquer leur destruction qui tenait au fait qu’elles devenaient inexploitables.

Il est bien possible que l’on ait accolé un motif géopolitique impliquant le Moyen Orient, dès lors qu’il s’est avéré qu’il fallait faire appel à l’armée pour raser les deux tours de 400 mètres de haut.

On ne sait pas opérer par démolition contrôlée sur des tours d’une telle hauteur, la montagne de débris qu’elle générerait viendrait toucher les alentours et leur évacuation serait titanesque. Pour l’immeuble 7, comprenant une quarantaine d’étages, cela n’a posé aucun problème.

On ne pouvait les abattre qu’en faisant en sorte que l’acier se disperse en suspension de poussières ultrafines lors de l’explosion, d’où l’utilisation vraisemblable de bombes atomiques de faible rayon d’action.


Les poussières d’amiante répandues par les multiples explosions ont provoqué également de nombreux cancers du poumon (asbestoses pulmonaires) parmi les secouristes, cancers qui se sont superposés aux cancers de la thyroïde ou du sang, provoqués par les radiations dues à l’emploi de mini-nuque pour assurer la sublimation partielle de l’acier et du béton.]

Le cinquième : « Le défi procédural »

Dans ce chapitre, sont mis en lumière d’étranges imprécisions et incohérences dans les diverses procédures judiciaires civiles engagées par les trois plus éminents représentants des chercheurs pour la vérité sur le 11 septembre : Steven Jones, Judy Wood, and Morgan Reynolds.

This chapter highlights some of the strange details in the various legal actions brought by prominent 9/11 truthers Steven Jones, Judy Wood, and Morgan Reynolds.

Le sixième : « Des avions, vraiment ? »

Les avions ont-ils réellement percuté les tours ?

(La question en ce cas est celle de savoir ce que sont devenus les passagers ? Le fait est qu’ils sont morts et qu’ils ont été enterrés. Aussi l’imaginer est la pire chose qui soit, car cela signifie que les avions ont atterri autre part et que l’on a procédé à une exécution de masse… Et au démontage des appareils en question…

Une chose est claire, rien ne s’est passé comme lors des autres accidents d’avions, où l’on rassemble les restes sur un lieu proche de l’accident – et il ne pouvait pas être autrement pour celui du pentagone -, dans une sorte de chapelle funéraire que l’on établit provisoirement au besoin. Ni pièces, ni corps, ni chapelle funéraire, des noms à qui l’on donne une sépulture, juste des noms et sans doute des corps à l’intérieur, mais qui proviennent d’où ? )

On complétera utilement cette analyse avec cet extrait choisi : même au simulateur de vol, percuter des tours avec un avion de ligne relève d’une fantaisie iréelle…

Le septième : « La clé »

La clé de la compréhension des attentats du 11 septembre : le trucage numérique des images…

Le huitième et dernier : « Hypnose »

Une leçon importante nous a été donnée lorsqu’à été diffusée la Guerre des mondes à la radio en 1938 au vu de la panique insensée qu’elle provoqua dans toute l’Amérique, sur le pouvoir des Mass-Media.

Pouvait-on faire en sorte que le public puisse croire que des avions s’étaient écrasés sur les tours jumelles le 11 septembre et par quelle manipulation ?

Le 11 septembre est avant tout une grande opération de guerre psychologique, une manipulation audacieuse de nos esprits par hypnose. Nous réveillerons-nous ?

A very important lesson was learned from the original radio broadcast of « War of the Worlds » – mass media wield the power of mind control.

Could people really be made to believe they saw a plane that wasn’t there? 9/11 was a psychological operation.

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