PRISE AU DÉPOURVU PAR UNE REQUÊTE EN RÉVISION ARGUMENTÉE ET INDISCUTABLE (accessible en suivant ce lien),
LA COUR DE CASSATION S’AVÈRE ÊTRE DANS L’INCAPACITÉ DE NE PAS TRANSGRESSER LES LIBERTÉS FONDAMENTALES ET LA LOI SUR LA RÉVISION DES CONDAMNATIONS PÉNALES
Le 16 février 2010 la Cour de cassation rejette la requête en révision déposée par Daniel MASSÉ qui – en plus de démontrer l’inanité de chacune des charges retenues contre lui – comprend deux faits nouveaux et 6 éléments inconnus des juridictions l’ayant condamné par erreur.
Ces éléments démontrent de façon indiscutable et définitive que la fabrication du colis piégé qui a blessé M. Joseph Hernandez et sa femme Dominique Terrier est l’œuvre conjointe de M. André Terrier, son beau-père et de Mme Hernandez qui s’est volontairement blessée pour échapper aux soupçons. M. Massé étant absolument étranger à cette histoire de famille,
à quoi s’ajoute la personne qui a transporté le colis en vélomoteur.
Est-ce la même personne qui, le soir même de la libération de M. MASSÉ au cours de l’instruction et après 6 mois de détention provisoire, a posé 4 explosifs de faible puissance dans la banlieue de Toulouse en espérant l’incriminer une deuxième fois ?